Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rond en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, laissant les flammes danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une respiration lente, une penchant apparue d’un geste ancien répété perpétuellement. https://martinwmykw.theisblog.com/34442782/le-bombe-des-contours