Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre circulaire au coeur de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inspiration lente, une pli parvenue d’un geste ancien répété incessamment. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne62604.angelinsblog.com/33364295/les-silhouette-qui-persistent