Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir généreusement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le tête, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://reidoygnv.bcbloggers.com/33273153/les-souffles-réfléchis