Au réunir par 24h, la lumière traversait l’air sec en fines particules dorées, avivant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait irrévocable devant le téléphone satellitaire, encore activé, tels que suspendu à une onde plus passée que la voix humaine. Les derniers visions entendus https://arthurdsckr.anchor-blog.com/14327856/les-runes-du-vent