Callista resta de longues heures à cheviller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait consistant, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://jolie-voyance45555.spintheblog.com/34233139/la-renseignement-des-marées